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Les buses ne sont pas partageuses

Les buses ne sont pas partageuses

Les buses ne sont pas partageuses

3 Buses variables se disputent une carcasse de marcassin dans la réserve du Bec du Feyi à Wibrin (Ardennes belges).

Une vidéo de Harry Mardulyn

La buse variable est sans aucun doute le rapace diurne le plus commun des terres ardennaises. C’est elle que l’on aperçoit postée en hauteur sur un piquet, un arbre, sur le poteau ou même les câbles électriques. De là elle observe attentivement les mouvements de ses proies dans les champs et les pâtures.
A l’occasion elle se nourrit de charognes surtout en hiver. Elle doit alors défendre son déjeuner  face à ses congénères. Mais les corvidés veulent aussi leur part, de rudes discussions s’engagent autour de la carcasse de marcassin.

 

 

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Quand les cerfs perdent leurs bois

Quand les cerfs perdent leurs bois

Quand les cerfs perdent leurs bois

 
 
Un cerf porte-t-il des cornes ? Bien sûr que non, il ne faut pas confondre les cornes et les bois.

Dès la fin de l’été, la saison des amours commence chez les cervidés, c’est la période du brame. Le cerf utilise sa ramure comme arme afin de s’imposer face à ses concurrents. Lorsque le rut est terminé, il n’a plus d’usage de ses bois. Ils tomberont dès l’automne pour repousser au printemps suivant.
C’est la testostérone qui régit leur cycle de croissance. Comme la concentration de cette hormone diminue en hiver en lien avec le raccourcissement des jours, les bois tombent chaque année entre décembre et janvier.

Savez-vous que ce grand et noble animal qu’est le cerf boisé peut devenir un mulet en automne. Un mulet ? La nature est bizarre quand-même. Voyez la vidéo

La vidéo est proposée par La Salamandre

www.salamandre.org

 

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En quête de vie – Brame du cerf

En quête de vie – Brame du cerf

En quête de vie – Brame du cerf

Durant 2 mois, j’ai été au plus proche d’une nature rayonnante de vie. J’ai repéré, spéculé, patienté et jubilé d’une manière plus intense qu’auparavant.
 
 
Cette première année de brame fût pour moi indescriptible. Tant dis que j’assistais de façon innocente au spectacle de la forêt, je voyais une nouvelle génération être crée, une autre ayant du se préparer à partir de son confort familial et devenir indépendante et une dernière qui acta pour la énième fois dans ce processus de pérennité de l’espèce. Et autour de cela, des êtres tout autant spectateurs que moi m’offrirent des observations uniques et mémorables.
 
 

Je me sens vraiment privilégié, à la fois pour avoir vécu ces moments inoubliables et car j’ai pu en apprendre tellement sur moi-même et ma vision des choses quant à l’animalier. Quel en est le but? Une question dont les réponses sont multiples mais qui, pour ma part, est d’observer pour mieux comprendre afin de mieux protéger notre patrimoine et la vie sauvage.

 

  Julien Salaets
 
 
 

 

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La Heid des Gattes vue du ciel | Aywaille-Remouchamps

La Heid des Gattes vue du ciel | Aywaille-Remouchamps

La Heid des Gattes vue du ciel | Aywaille-Remouchamps

La réserve naturelle de la Heid des gattes est un massif de près de cinquante hectares. Elle longe la rive droite de l’Amblève entre Aywaille et Remouchamps.

Comme le souligne son nom wallon, cette colline boisée est parcourue par un troupeau de chèvres sauvages. La falaise s’élève presque verticalement à cinquante-cinq mètres au dessus de la rivière. Elle est entourée par la carrière de la Falize à l’est et la carrière du Goiveux à l’ouest. Un bocage de petites pâtures entourées de haies entoure le charmant village de Sur la Heid, au sommet du massif. A l’est, un joli vallon boisé et frais escalade la colline.

Plus d’infos :
www.heiddesgattes.be

La vidéo est de LZ créations

La photo du titre provient de Wikipedia

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Hautes-Fagnes | La restauration des landes et tourbières de Wallonie

Hautes-Fagnes | La restauration des landes et tourbières de Wallonie

Hautes-Fagnes | La restauration des landes et tourbières de Wallonie

En Wallonie – sur les crêtes ardennaises – après seize ans de travaux réalisés au cours de six projets LIFE nature, 6.300 hectares d’habitats naturels ont bénéficié d’importantes actions de restauration et d’un investissement global dans les travaux de plus de vingt millions d’euros.

Le Service Public de Wallonie en Belgique, avec le soutien financier important de la Commission Européenne (programme LIFE) et en collaboration avec diverses associations de protection de la nature, s’est engagé dans ce vaste projet régional de restauration des milieux naturels en Ardenne. Le présent film montre le résultat de ces six projets et l’attrait de ces sites pour la biodiversité.

Un film de Gerd Herren (Spalywood).
Conseillers scientifiques : Philippe Frankard, Denis Parkinson, Annick Pironet, Laurence Nivelle, Aurélien Kaiser, Clémence Teugels, Pierre Collard, Adrien Marquet, Charlotte Damoiseaux, Paul Crismer, Laura Collard et Lucas Lambert.

Ce film a été réalisé dans le cadre du projet LIFE-Nature « Restauration des habitats naturels de l’Ardenne liégeoise (2012-2019) ». Le projet LIFE Ardenne liégeoise a été porté par la Wallonie (DEMNA – DNF) en partenariat avec l’ASBL Domaine de Bérinzenne, avec un financement conjoint de la Commission Européenne et de la Wallonie et le soutien financier de la société Spa Monopole.

Plus d’informations : www.lifeardenneliegeoise.be

Land of fox | Vidéo de Walter Barthélemi

Land of fox | Vidéo de Walter Barthélemi

Land of fox | Vidéo de Walter Barthélemi

Land of fox… Une invitation à découvrir ma terre natale : l’Ardenne belge. Alors que l’aube se lève paresseusement, un renard apparaît. La narratrice nous invite à la réflexion. L’homme est intimement lié à la nature. Apprivoiser celle-ci, c’est accepter d’en être responsable. Le renard incarne cette nature sauvage tellement belle et fragile qu’il nous faut apprendre à comprendre et préserver.

– Grand prix du meilleur film catégorie amateur du Festival Nature Namur 2011 (Belgique)
– Nominé (2eme catégorie amateur) au festival international du film animalier d’Albert (France) en 2012
– Sélectionné au festival international du film nature et environnement de la FRAPNA (France) en 2012
– Sélectionné au festival de l’oiseau et de la nature d’Abbeville (France) en 2013
– Sélectionné au festival images et faune sauvage (France) en 2016

© Walter Barthélemi

 


 

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Un peu de neige, un peu de vert à Samrée – vidéo

Un peu de neige, un peu de vert à Samrée – vidéo

Un peu de neige, un peu de vert à Samrée – vidéo

Juan Nosiglia ramène chez lui, en Espagne, ce chouette petit film saisi sur les Hauteurs de l’Ardenne, près de Samrée.

Mettez le son.

 


 

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Le tombeau du chevalier – Vidéo

Le tombeau du chevalier – Vidéo

Le tombeau du chevalier – Vidéo

Plus envoûtante que jamais, la Semois s’éveille sous les brumes, et peu à peu découvre un des sites naturels parmi les plus majestueux de l’Ardenne.

Le tombeau du chevalier se situe à Herbeumont (Ardenne). Ce méandre de la Semois encercle une butte boisée dont la forme évoque la sépulture médiévale des chevaliers.

La légende, contée par Charles Perlot, raconte qu’un jour, un seigneur, venant du pays du soleil, un géant comme on n’en avait jamais vu s’en vint par la vallée de la Semois : il s’arrêta au pied d’un mont herbeux sur lequel plus tard s’érigea un imposant château-fort. Il y établi son campement. Par une belle soirée d’été, lors qu’il se prélassait au soleil, il vit des nymphes qui s’ébattaient dans l’eau cristalline. L’une d’elle, d’une beauté exceptionnelle retint son attention. Il s’approcha, mais brusquement toutes disparurent dans l’épaisse forêt. Furieux, le géant jura de retrouver celle qu’il convoitait et, sur son fringant coursier pendant des semaines, il arpenta les sentes des bois environnants. Un soir, qu’il avait chevauché toute la journée en forêt, il s’arrêta épuisé sur les hauteurs de « Mauleux ». Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit les nymphes danser au clair de lune sur le versant opposé. Sans crainte du danger, il éperonna sa monture qui d’un bond s’élança dans le vide au-dessus de la Semois et vint s’écraser sur une crête de la colline qui s’ouvrit engloutissant monture et cavalier. Cet endroit fut surnommé “Tombeau du Chevalier”.

© 2011-2016 Walter Barthélemi
walterbarthelemi.be

 

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Walter Barthélemi a collaboré à ces ouvrages
Ardenne éternelle

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Que de lieux et de paysages ont enflammé mon imaginaire et nourri ma contemplation : forêts, rochers, rivières, mais aussi châteaux, chapelles, villages, des lieux habités et hantés. Ma mémoire est faite de ces lieux.


 

Sylvaines

Jean-Luc Duvivier de Fortemps, Jean-Claude Servais, Walter Barthélemi

La forêt d’Ardenne, cette « forêt habitée et hantée » comme la dépeint Duvivier, est le dénominateur commun de ces trois nouvelles où la vraisemblance des faits n’en dissimule pas moins un surnaturel latent.


Calendrier perpétuel

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À travers ce calendrier, Walter Barthélemi nous livre des clichés d’une délicatesse incomparable, qui laissent transparaître sa passion pour la faune et la flore de l’Ardenne.


 

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Le goût de l’écorce

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Le goût de l’écorce : Avec Joost Vanvoorden | Réalisation : Martin Dellicour | Image & son : Anne Leidgens, Martin Dellicour | Musique : The Deranged Pinguins (Reprise de Timber Timbre), Tenacious Orchestra

www.ardennesauvage.be

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Errances

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Le temps du brame

Jean-Luc Duvivier de Fortemps et Jean-Claude Servais
Editions Weyrich

Partout autour de nous, le monde bouge, s’agite, change.
Et pourtant, là-bas, au plus secret de la forêt...